
Artiste franco-japonaise aux multiples talents, chanteuse, flûtiste, autrice, compositrice et arrangeuse, Maïa Barouh mélange du chant traditionnel japonais (qu’elle appelle le “blues nippon”) à de l’électro, de la pop et du rap sur ses textes écrits en français et en japonais. A 16 ans, elle débute au sein de la scène underground de Tokyo, avant de monter son propre groupe. Dès lors, son chant deviendra central. Tantôt solaire, tantôt noctambule, Maïa plonge en musique, pleine de son héritage qui vit en elle comme un compagnon discret, inventant sa propre danse, son propre chant.
Maïa Barouh : voix, flûte / Delphine Langhoff : batterie / Aksel Baouche : machines, claviers
Notre mot
L’une de ses particularités est sa grande technique vocale – largement inconnue du grand public et provenant d’une île au Sud du Japon – qu’elle associe à sa flûte traversière, percussive et insolente. Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, Maïa Barouh nous emmène au coeur de ses racines où mélancolie et transe, percussion et musique électronique, rap et chant ancestraux se côtoient. Sa voix qui vient des tripes vous prend.